Les lois cubaines, ardues à saisir et
à interpréter, ne nous permettaient pas de partir de la marina avant que le personnel
soit au travail soit 9h A.M. Notre lieu d’ancrage nous a donc permis de quitter
aux premières lueurs du petit matin.
La nappe bleutée du firmament et le
velours dont il nous enveloppe étouffe la nervosité qui gagnait Martine, pas
encore tout à fait rétablie, à la pensée de reprendre la mer. La peur est
mauvaise conseillère mais à petites doses, elle incite à la sagesse. Christian
se veut rassurant… Martine lui retourne un sourire de gratitude, ses doutes
s’étant quelque peu estompés…
MARSEA a suivi l’ondulation de la mer vers
le large jusque sur le banc des Ragged Islands aux Bahamas. 10 heures plus
tard, 66mn plus loin, nous avons jeté l’ancre.
Les minutes qui ont suivies ont été
consacrées par Christian à la baignade. Vitale et pourtant laborieux et
presqu’inaccessible en terre cubaine lorsque l’on n’est pas logé dans un hôtel
littoral.
TANGARA et MARSEA se sont côtoyées de près
tout le trajet. Profondément merci d’être là à Lucie et Jean-Claude !
Le plus grosse daurade à vie ! |
Les requins citrons se régalent des détritus de la daurade. |
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